Aide, déforestation et États fragiles
16/06/10
Aide, déforestation et États fragiles
initié par
Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique
Mardi 15 juin 2010 au Centre d’analyse stratégique 18 rue de Martignac - 75007 PARIS
- La déforestation apparaît comme l’une des principales sources de dioxyde de carbone dans les pays en développement. Elle serait ainsi responsable de 12 à 15% des émissions mondiales de gaz à effet de serre liées aux activités humaines.
- Initié par la France et la Norvège dans le prolongement de la conférence de Copenhague, le partenariat mondial pour combattre la déforestation, approuvé à Oslo le 27 mai, a ainsi permis de consolider les promesses de fonds, qui s’élèvent désormais à près de 4 milliards de dollars sur les trois années à venir. Ces sommes, utilisées dès cette année, devront financer la mise en œuvre de politiques et de mesures permettant de lutter efficacement contre la déforestation et la dégradation.
- Près des trois-quarts des forêts mondiales se trouvent dans des États dits « fragiles » ou susceptibles de le devenir. Dans ces pays, qui bien souvent peinent à appliquer des lois et à faire prévaloir l’intérêt général sur les intérêts particuliers, lutter contre la déforestation constitue donc un défi important qui nécessite de se pencher sur le contenu des réformes à entreprendre tout en prenant en compte la dimension d’économie politique, les intérêts et le jeu des acteurs.
Contact presse :
Jean-Michel Roulle
Responsable de la Communication
jean-michel.roulle@strategie.gouv.fr
Téléphone : 01 42 75 61 37
Les ressources
- Télécharger le communiqué de presse
- Télécharger l’intervention de Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique
- Télécharger l’intervention de Vincent Chriqui, Directeur général du Centre d’analyse Stratégique
- Consulter le programme du séminaire
- Consulter la Note de Veille 180 : La lutte contre la déforestation dans les « États fragiles » : une vision renouvelée de l’aide au développement
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